pseudos écrivaillons

Les écrivains n'existent plus, rien que des marchands de pacotilles...

Non, le parasite puant, ce n'est pas toi. Il est là, il me cherche, et je n'aime pas ça. Je le sens pas. Il se cache, il frise le ridicule dans une écriture qui n'est pas la sienne. Mais, qu'il se meffie, sous mon sombrero se cache un pot de confiture à la fraise. Je saigne. Je suis à la fin des pages de Da Vinci code. Il était temps. Et, ça ne m'a rien appris, de ce que je savais déjà. Si, un truc.. Un truc qui me dérange, c'est que la femme soit représentée comme une Déesse. J'aurais préfère à l'égale de l'homme.

Vois-tu?

Je ne sais pas pourquoi les gens essaient toujours d'aggrandir ce qu'ils ont en face d'eux. Ce vouloir de viser toujours plus haut, et de ne pas reconnaitre/ admettre ce qu'ils sont, où ils sont, sans aller chercher un Dieu/Déesse qui pourrait changer la face de leur " vision du" monde.

DES BLASéS de la vie, avec cette peur de vieillir et de partir dans le néant, pathétiques EgoS.

 Regarder droit devant, c'est pas possible de nos jours ?

Donc, ce roman ne m'apporte rien, il me lasse, comme tous ces romans où les personnages se transforment en super héros; à la Rambo, quoi...

Les auteurs, de nos jours, ne font que du plagiat de trop de déjà vu/lu..

C'est dommage.